Des gens connus de Préveranges

Roger Walkowiak

Roger Walkowiak: né le 2 mars 1927 à Montluçon, cycliste professionnel de 1950 à 1960 ; sa mère, Berthe LECOQ est née au Betoux hameau de Préveranges. Lors de son adolescence il venait passer quelques jours au Betoux chez son oncle.

 le 2 février 2017 j'apprends son décès

Le journaliste Jean-Paul OLIVIER lui a consacré un livre:" Roger WALKOWIAK le maillot jaune assassiné ".

Jean-Pierre DARCHY de Montluçon a édité une brochure en 2 tomes " Le fabuleux destin d'un p'tit gars de Montluçon "ou sont notés toutes les courses de Walko du 2 avril 1944 à Montluçon à mai 1962 à Tulle

 Pour en savoir plus voir Walkowiak le Quiz

Vainqueur du tour de France 1956Roger Walkowiak

Victoire de Walkowiak en 1954 à Préveranges

Walkoviack a preveranges en 1954

 

Entre 1950 et 1960 Walkowiak a couru plusieurs fois à Préveranges

Ici avant le départ devant l'école.

Walko a preveranges

Walko, sa mère et son épouse

Tour de France 1956 , 27 juillet ,Vingt et unième étape Lyon- Montluçon :

Walkowiak arrive dans sa ville avec le maillot jaune qu'il conservera jusqu'à Paris pour gagner le Tour de France 1956.

une photo de ce jour mémorable en compagnie de sa mère(originaire de Préveranges) et son épouse.

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Scan 0004  Walko la classe: le 25 juillet 1956 au cours de l'étape Grenoble -St Etienne: walko est pris dans une chute au milieu du peloton c'est le moment ou le 2e du classement Bauvin en profite pour attaquer, après plusieur kms de poursuite walko rejoint Bauvin puis lui offre à boire.

 

Vincent ROCHON, bienfaiteur de la commune

Vincent ROCHON  né le 24 juin 1841 à Dun sur Auron décédé en 1919

Instituteur à Préveranges ,

Auteur d'une monographie sur la commune ainsi que d'un legs important à la commune.

La médaille d'honneur à été décernée le 18 Novembre 1884 par Mr  le Président de la République pour avoir accompli des actes de courage  et dévouement à Mr Vincent ROCHON instituteur publique à Préveranges , qui le 10 Aout 1884 n'a pas hésité à se jeter dans un étang profond pour porter secours à un jeune homme qui  avait disparu sous  l'eau.

 En 1901 il reçoit la médaille d'argent émise par la commission centrale de météorologie du Cher.

 

Le caveau de la famille Rochon dans son testament il léguait une certaine somme pour l'entretien de ce caveau, mais pour combien d'années, actuellement presque à l'abandon : c'est dommage

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 Lecture  du testament de Mr ROCHON lors de la réunion du conseil municipal du 15 aout 1920:

Par ce testament  Mr Rochon lègue à la commune:

 -6ooofrs pour l'acquisition et l'aménagement d'une horloge sur l'église.

  -1200 frs à convertir en titre  dont le revenu servira au remontage de l'horloge.

  -1200 frs pour servir à l'entretien et la réparation de l'horloge.

  -1000 frs , dont les revenus serviront annuellementà distribuer aux élèves des écoles des prix .

 - 1000 frs , dont les revenus serviront à l'entretien du caveau de la famille Rochon

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  Tombe Rochon en 2015.

  Dans testament, Mr Rochon donnait  à la commune 1000frs dont le revenu servirait à l'entretien du caveau de la famille. !!!!

   Qu'en reste  t'il,.......  vu l'état de la tombe en 2015....affaire à suivre...........

Tombe rochon en 2015

André MOULINIER, compagnon de la Libération

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Alphonse Lorcery instituteur en 1930

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Lorcery , champion de France triple saut 1935

Denis GLOMEAU : Accordéoniste

Denis glomeau

Jean Kaczmarek : Accordéoniste

MUSIQUE Jeannot Kaczmarek L'accordéon dans le sang

À 81 ans, il est tou­jours sur scène. Son ca­len­drier est plein à cra­quer. Ce Cas­tel­meillan­tais joue de l'ac­cor­déon de­puis soixante-seize ans et a fait dan­ser des mil­lions de per­sonnes.

La re­traite ? Jean, dit Jean­not, Kacz­ma­rek ne connaît pas. À 81 ans, il conti­nue à ravir les dan­seurs avec son ac­cor­déon. « Quand je suis sur scène, je vais bien, j'ou­blie tous les sou­cis, lance-t-il dans un sou­rire. J'ai par­fois des trous de mé­moire mais ja­mais sur scène ! En­core vingt ans comme ça, ce se­rait bien ! » Jean­not a la mo­des­tie et la pu­deur des gens de la cam­pagne. Pour­tant, cet ac­cor­déo­niste a fait dan­ser des cen­taines de mil­liers de per­sonnes en soixante-seize ans de bals, ma­riages et fêtes. Il vient de sor­tir, avec l'or­chestre au­quel il ap­par­tient, un nou­veau CD in­ti­tulé En at­ten­dant di­manche, en­re­gis­tré chez son gui­ta­riste à Buxières-les­Mines dans l'Al­lier. Jean­not n'a pas une mi­nute à lui. « Cette année, je n'ai plus qu'un seul di­manche libre, le 25 juin. Je joue, avec Georges Ro­bert et Mi­chel Ponce au chant et à la gui­tare, tous les autres di­manches et cer­tains jeu­dis, sur­tout en Au­vergne et en Saône-et-Loire. Mais je ne fais plus les sa­me­dis soir, c'est trop fa­ti­gant. »

Un père musicien polonais

Cet ac­cor­déo­niste est un Ber­ri­chon pur jus. Né à Saint-Sa­tur­nin près de Châ­teau­meillant, Jean, ben­ja­min d'une fra­trie de neuf en­fants, a com­mencé la mu­sique à l'âge de 5 ans. Une his­toire fa­mi­liale. « Mon père était mu­si­cien. J'avais des frères qui jouaient de l'ac­cor­déon, du banjo... En Po­logne, d'où mes pa­rents étaient ori­gi­naires, mon père jouait du ban­do­néon dans les ci­né­mas pen­dant les pro­jec­tions de films muets. Il par­lait cinq langues et s'était ins­tallé dans le nord de la France pour être in­ter­prète dans les mines. Au ,début de la Pre­mière Guerre mon­diale, avec ma mère, ils étaient venus s'ins­tal­ler dans le Cher où ils étaient de­ve­nus agri­cul­teurs. » Jean­not a ap­pris l'ac­cor­déon avec son père. Il n'a que 9 ans quand il com­mence à jouer dans les bals. « J'ai dé­buté dans les bis­trots du Bou­quet à Si­diailles, se sou­vient-il. Il y avait trois cafés et trois bals avec des or­chestres dif­fé­rents. » Son pre­mier ac­cor­déon, le mu­si­cien était allé le cher­cher à vélo à Gué­ret dans la Creuse. « Il coû­tait 98 000 francs. Comme nous n'avions que la moi­tié de l'ar­gent, le com­mer­çant, qui nous connais­sait, nous avait fait cré­dit mais nous ne l'avions pas dit à mon père. Quand nous sommes ren­trés avec l'un de mes frères, il fal­lait que mon père signe un pa­pier. Ce n'était pas rien ! » C'est ainsi que Jean­not a eu son tout pre­mier ins­tru­ment. « J'ai acheté mon propre ac­cor­déon à 20 ans, un Mau­gein frères. » Ac­cor­déon que Jean pos­sède tou­jours au­jour­d'hui. En 1958, il ac­quiert ses pre­miers par­quets. « Je les ai fait tour­ner jus­qu'en 1970 avant de les vendre car les salles des fêtes com­men­çaient à se construire dans les com­munes. » Jean­not as­su­rait 90 à 100 dates par an. Une vie de sal­tim­banque pas­sée de ban­quets en thé-dan­sants. Il pou­vait ani­mer une soi­rée le sa­medi à Co­gnac en Cha­rente et jouer le di­manche midi à Mons dans le Puy-de-Dôme. « Les week-ends, je ne dor­mais pas. Je ne fai­sais non plus rien pour ren­trer de bonne heure ! », s'amuse Jean­not. Le mu­si­cien a ainsi vécu, l'ac­cor­déon greffé aux bouts des doigts. « J'en ai joué, sûr ! », lan­cet-il. Jean a éga­le­ment sorti « une di­zaine de disques et sept ou huit CD. » Son plus gros suc­cès : Le Rêve bleu, sorti chez Sco­rama. « Nous avons vendu plus de 2 000 disques ! » Même si Jean, qui a quatre en­fants et « David, mon beau-fils que je consi­dère comme mon fils car je l'ai élevé », a par­couru les routes de France, nul n'est pro­phète en son pays ! En effet, il n'a joué qu'une fois à la Foire aux vins de Saint-Amand. « J'étais en cu­lotte courte et la Foire avait lieu sous la Halle du mar­ché. »

Kaczmarek

                                                                                           Jeannot Kaczmarek a conservé son premier accordéon, un Maugein frères.

                                                                                                                                            L’écho du Berry :jeudi 9 au mercredi 15 mars 2017

  • Édition(s) : La Châtre et Du Boischaut-Sud
  • par Stéphanie Payssan
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Béatrice Agenin : Comédienne

 Un peu de chauvinisme ;  c'est ma proche cousine, même si elle n'est pas vraiment de Préveranges, son père y a vécut et y est allé à l'école , sa mère était de Vijon

 comédienne, actrice , metteur en scène, ancienne sociétaire de la comédie Française, elle a jouée avec les plus grands de Giraudeau à Belmondo. en 2016 elle vient d'arrèter sa participation à "une famille formidable" ou elle interprétait le rôle de Reine.

Deuxième prix du Conservatoire national supérieur d'art dramatique en 1974, elle est engagée à la Comédie-Française la même année, y a été nommée sociétaire en 1979 et a choisi de quitter la Troupe en 1984

 

 Beatrice

 

Au festival d'Avignon en juillet 2019 elle joue Marie des poules , elle interprête une double rôle celui de George Sand et celui de sa jeune servante marie des poules , dans cette pièce elle retrouve son parlé et accent Berrichon . un énorme succès durant le festival.

 Consécration lors des Molières 2020 où Béatrice obtient le Moliere de meilleure comédienne de théâtre privé.

En 2022 au festival d'Avignon elle rejoue "Marie des poules", c'est un triomphe la salle est pleine à chaque représentation pendant tout le festival.

Lors du festival 2022 elle est également en scène  avec sa fille Emilie, dans un spectacle musical " le petit cabaret" et obtient le prix du meilleur spectacle musical du festival

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 Beatrice et son moliere

 

 

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Après Avignon en Juillet 2022 et 2023 Béatrice et sa fille Emilie  sont à l'affiche pendant 2 mois  à Paris au théatre Lucernaire  dans leur spectacle cabaret

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Céline MATA: harpiste, concertiste et professeure

Celine mata

 site officiel: http://celinemata.fr

Directrice de l'Académie Musicale du Montet:

https://www.facebook.com/profile.php?id=100083203239003

https://www.facebook.com/CelineMata.harpist/

Céline MATA demeure une figure incontournable de l'école française de harpe, mondialement reconnue. Elle est réputée et recherchée pour son jeu virtuose,  régalant son auditoire de sa sonorité authentique et chaleureuse.

Régulièrement Invitée à jouer en soliste avec différents orchestres (comme l'Orchestre Bernard Thomas, l'Orchestre de Picardie, l'Orchestre du Sud-Essonne, l'Orchestre Philharmonique de l'Oise, l'Orchestre de chambre Opus 60), Céline est amenée à partager la scène avec de grands Artistes comme le quatuor Joachim, Vincent Lucas, ou les Chœurs de Radio France.

Elle se produit en concert à travers la France et l'Europe, dans des salles prestigieuses et des théâtres ; au sein de différents Festivals.

​Musicienne d'orchestre, elle est invitée par des Orchestres Nationaux: Orchestre de Picardie, Orchestre de l'Opéra de Rouen, Orchestre National d'Ile de France, Orchestre de Bretagne, Orchestre Poitou-Charentes, , Orchestre Bernard Thomas.